En famille

Je me réveille dans ma chambre chez mon père. Avec mon grand frère (Quentin, 21ans), nous avons effectué le transfert de chez ma mère à chez mon père le dimanche soir, comme à notre habitude. Contrairement à ma mère (Élodie, 54ans), mon père (Jean, 65ans) habite dans une maison dans un quartier résidentiel, plutôt calme. Mes deux parents n’habitent pas si loin l’un de l’autre, 10min à vélo et 5min en voiture, ce qui est tout de même très pratique. Ma chambre se situe au premier étage de la maison, celle de mon père juste à côté de la mienne et celle de mon grand frère au comble. Au rez-de-chaussée se trouvent la cuisine, la salle à manger et le salon. Les trois pièces ne sont pas séparées par une porte ce qui fait que l’espace du bas semble très grand et ouvert. J’apprécie beaucoup cet endroit, c’est chaleureux malgré la décoration assez vieille. Je m’y sens bien. 

Retour à mon lit, en ce jour de novembre 2020, il est 9h. J’entends mon réveil qui sonne et qui me sort de mon rêve, mais par chance je m’en souviens encore et j’essaye à tout prix de me souvenir de l’entièreté de mon rêve car il concerne mon copain et j’aimerais lui raconter. Tout en éteignant ce réveil insupportable, je me remémore ce fameux rêve. Je déverrouille mon téléphone et ouvre l’application WhatsApp et aperçois le groupe que j’ai avec 3 copains. Je me souviens alors que je devais me filmer un matin en criant et leur envoyer (ne cherchez pas de rationalité à cette action, il n’y en a aucune). Je me filme donc en poussant un petit cri qui me fait rire car le son qui sort de ma bouche est ridicule, tout comme la scène. Ensuite, je vais sur la discussion avec mon copain et je lui raconte en vocal le rêve. J’ai parlé pendant 4min, j’ai réussi à tout lui raconter de ce que je me souvenais en tout cas. J’ai hâte qu’il l’écoute et qu’il me réponde. 

Il est maintenant 9h15, j’ouvre mes volets, je refais mon lit et vais dans la salle de bain qui se trouve en face de ma chambre pour aller aux toilettes et refaire ma coupe. Je ne suis pas particulièrement enjouée par ce que je vois dans le miroir mais comme je reste confinée chez moi je me dis que ce n’est pas si grave, et que seuls mon père et mon frère auront à supporter cette horreur. Je descends ensuite au rez-de-chaussée pour prendre mon petit déjeuner. Je suis contente de trouver mon père dans la salle à manger. Il fait bien chaud, c’est agréable. Mon père semble aussi content de me voir et nous papotons directement. Il me demande ce que je veux manger et boire tandis que je m’assieds à table. Il semble embêté quand il se rend compte qu’il n’a pas de jus de fruit à me servir, mais je lui réponds que je peux me contenter d’un verre d’eau. Il m’apporte ça et me propose du Streusel que je trouve très bon. Il veut m’annoncer une bonne et une mauvaise nouvelle et me demande de choisir laquelle en premier. Évidemment la mauvaise en premier, c’est absurde de garder le pire pour la fin. Les informations concernent un camping-car qu’il souhaite acheter prochainement. Le fait d’évoquer cet achat et donc cette nouvelle possibilité de voyage m’excite car j’ai vraiment envie de faire des vacances en camping-car. Je finis de manger tout en lisant un article du journal DNA qui se trouvait devant moi. L’article raconte l’histoire d’un homme qui ramasse des déchets tous les jours à plusieurs endroits dans la ville de Strasbourg, je suis assez admirative de son action et de sa détermination. Après avoir fini, je remonte dans ma chambre et je me fais piéger par mon lit qui semble si chaud et confortable. Je me recouche, sacrilège, surtout que j’y reste une vingtaine de minutes. Je ne m’endors même pas, mais je suis juste esclave de ma flemme qui repousse le moment où je devrai me mettre au travail.

C’est finalement à 10h00 que je décide de me lever et d’affronter mon bureau. Je commence par ranger quelques affaires de cours qui traînaient dessus puis m’attaque aux fiches de révision d’ethnologie. C’est à ce moment-là que je me souviens que l’observation collective était prévue aujourd’hui, je me dépêche de noter ce que j’ai fait ce matin. Je n’oublie jamais de mettre de la musique lorsque je travaille, j’aime beaucoup ça et j’adore encore plus lorsque je découvre des artistes et des albums. C’est notamment ce qui se passe ce matin car, lancé en aléatoire, Spotify me propose une série d’anciens tubes. Je redécouvre pleins de sons que j’avais oublié mais que j’aimais bien. 

Il est midi 20 lorsque mon père appelle pour qu’on vienne manger et j’entends mon frère descendre les escaliers de son étage, passer devant ma chambre en me disant qu’on mange et descendre à la salle à manger. Je sais que je vais être en retard mais je veux à tout prix finir ma fiche d’ethnologie. Je tarde un peu et fini par descendre. Je cours dans les escaliers et soupçonne que nous mangeons des frites ce midi par la bonne odeur qui se dégage dans la cage d’escalier. Arrivée, c’est sans surprise que je me prends une remarque de mon frère sur mon retard, remarque que j’ignore. Ce que je vois sur la table confirme mon hypothèse : frites, poulet, petits pois et carottes, et salade. J’ai hâte de manger. L’ambiance est assez détendue, c’est agréable, nous mangeons tout en papotant. Je me ressers une portion de frite en culpabilisant, mais j’aime beaucoup trop ça. Comme dessert, je réchauffe un reste de crumble fait maison (par ma mère et moi-même). Puis mon père nous demande de ranger la table ce que Quentin et moi faisons directement. Parallèlement, Quentin remarque des tâches sur une photo de lui dans la pièce et mon père répond que ça doit être moi pendant mes soirées. Quentin semble d’accord de la réponse de mon père et il me demande si c’est le cas. Je sens un ton de reproche de sa part et je ne le prends pas très bien car j’ai l’impression qu’ils lancent des accusations sans réfléchir. L’ambiance s’est tendue et tout le monde le remarque, ils me trouvent agacée (c’est le cas, ils m’agacent). Je finis rapidement de ranger la table et monte directement dans ma chambre car étant de mauvaise humeur je n’ai pas envie de rester avec eux, il est 13h17. Je prends mon téléphone, contente, car je peux enfin voir ce que mon copain m’a répondu. Je check les autres réseaux sociaux, réponds à mes snaps et regarde ce qu’il m’a dit, ça me fait sourire. Puis je range mon téléphone et recommence à travailler, toujours sur mes fiches d’ethnologie. Je rallume évidemment mon enceinte. J’ai un peu froid au cou et aux pieds, c’est pourquoi je cherche d’autres vêtements à me mettre dessus : grosses chaussettes pilou pilou et un gilet. 

Il est 14h36 quand je me rends compte que j’ai oublié de me rendre à mon cours qui commence à 14h. Je m’inquiète un peu car je n’aime pas du tout louper des cours mais je me souviens que le résumé est sur moodle et que je peux reprendre seule de mon côté. Je ne peux nier le fait que je check plusieurs fois mon téléphone à la recherche de notifications mais lorsque je vois le temps passer sur mon téléphone indiqué sur l’écran de verrouillage, je préfère le verrouiller (je n’aime pas réaliser que je passe beaucoup de temps dessus). Certes, je suis maintenant sur le lien bbb du cours, mais ce n’est pas pour autant que j’écoute attentivement et même je continue à faire mes fiches d’ethnologie. Le cours n’a duré qu’une heure et demie, j’en suis ravie… 

Lorsque j’ai enfin fini mes fiches d’ethnologie, je les expose devant moi et tout ce que je peux dire c’est que je suis très fière de moi, je les trouve top. Je reprends le cours qui vient de se finir jusque 16h08, j’ai lu sans tout comprendre mais je ne m’inquiète pas trop car nous approfondirons en TD. J’ai clairement préféré faire mes fiches d’ethnologie. J’hésite sur quoi travailler maintenant, je sais que je devrais faire du droit mais je hais ça. C’est pourquoi je repousse le moment où je devrai m’y mettre en étant sur mon téléphone. Je me rends compte que j’ai de l’anglais à faire, ça tombe bien…En parlant de droit justement, la grande question à cette heure-ci sur le groupe de la classe est comment va se dérouler notre examen en droit : QCM ou oral. J’espère à tout prix que ça sera un QCM, sinon je ne sais pas comment je vais m’en sortir sans rien savoir lors d’un oral avec une professeure en face de moi. Je finis tout de même par lire mon cours de droit et ça m’énerve car il y a trop de choses à savoir. Je décide que YouTube sera mon meilleur ami pour m’aider à comprendre ce cours. Alors, je regarde le plan du cours et cherche les grandes parties, puis je cherche des vidéos sur la plateforme. C’est tellement mieux, je comprends beaucoup plus vite. Je complète mes fiches de droits et je me dis que je pourrais en faire des mieux mais j’ai peur que ça soit trop de travail. 

Vers 18h18, mon père entre ravi dans ma chambre en disant qu’il a battu mon frère au ping-pong (je les entendais jouer par les cris de mon père, ce n’était donc par le résultat que j’imaginais). Je lui serre la main car je suis fière de lui. Il a réussi à renverser mon frère qui était jusqu’ici imbattable. Mon père me prévient que Quentin m’attend pour faire un match mais je lui réponds que je veux d’abord finir ma fiche de droit. Il s’allonge sur mon lit en attendant, oui il adore s’allonger sur mon lit pendant que je travaille, j’aime bien aussi. Je continue la vidéo sur la Haute cour que j’étais en train de regarder, mon père dit que c’est très intéressant. S’il savait que ce n’était pas mon cours mais une chouette vidéo sur internet… Il m’interrompt quelques fois pour me parler mais je râle en lui disant de se taire sinon je ne peux pas entendre la vidéo. 

J’arrête de travailler à 18h30 et avec mon père nous descendons au rez-de-chaussée. J’enfile mes crocs pour aller à la cave, comme d’habitude, et mon père refait une remarque sur le fait que les crocs ne sont pas adaptées pour jouer au ping pong. Il me le dit à chaque fois, alors qu’il n’est même pas dans mon corps et ça m’énerve. Je replonge dans ma mauvaise humeur et je suis même plus motivée pour faire du ping pong donc j’enlève mes crocs et vais dans le salon en soufflant. Les deux remarquent que je ne suis pas contente et essayent de me remotiver pour jouer, ce qui marche au bout de 5min. Nous descendons à la cave, il fait plus froid mais après quelques échanges de balles j’enlève mon gilet. Nous allumons la radio pour ambiancer un peu la pièce. Je trouve assez formidable notre installation car nous avons réussi à faire rentrer la table de ping pong dans une des pièces de la cave, celles où étaient stockés les vélos que nous avons simplement déplacé. La table rentre pile poil pour avoir suffisamment d’espace aux deux bouts pour pouvoir jouer. Nous avons également rajouté une lampe pour mieux éclairer. Au final, même si c’est à la cave c’est très plaisant et ironiquement, nous n’avons jamais autant utilisé la table de ping pong depuis l’achat. Même en été, dans le jardin avec beaucoup d’espace, nous ne jouons pas autant, sacré paradoxe.

Je joue d’abord contre mon grand frère et dès le début je sais que je ne vais pas gagner. Il a déjà joué deux manches contre mon père ce qui veut dire qu’il est bien échauffé et que c’est peine perdue, enfin pour le moment (je vois ma réussite à plus long terme après de nombreuses heures d’entraînement). Dans le jeu, je fais encore beaucoup d’erreurs bêtes, mais j’arrive quelques beaux coups, notamment des coups droits qui sont ma grande faiblesse donc je suis assez contente de moi. Sa victoire ne m’atteint pas au fond mais légèrement en surface, surtout quand il tente des dingueries et que ça passe. En plus de la technique, il a de la chance, c’est trop. Il gagne les deux sets sans surprise. Je joue ensuite contre mon père. J’ai un peu plus d’espoir car il est moins fort que mon frère et que je suis déjà plus dans le jeu. Encore une fois, je loupe pleins de points bêtement et je perds les deux manches. On va dire que j’ai l’habitude de perdre donc ça ne m’énerve plus tellement, j’ai sûrement moins de pression qu’eux. Personnellement j’ai juste à m’améliorer pour les battre, enfin tenter, c’est un défi avec moins de pression que de garder la meilleure place. En ce moment, je ne vise même plus la victoire mais juste l’entraînement pour améliorer ma technique et essayer de les battre plus tard. Ils sont à chaque fois étonnés car je suis meilleure lors des entraînements qu’en matchs, chose que je remarque aussi mais que je n’explique pas vraiment, si ce n’est par le stress d’être dans un cadre de compétition. A la fin des deux matchs, mon père nous laisse et mon frère et moi continuons à jouer, sans faire de match mais juste des échanges de balle. C’est assez agréable cet entraînement, nous jouons assez longtemps puisque nous arrêtons vers 19h23.

Nous remontons au salon et nous nous mettons devant la télé. C’est l’heure du journal télévisé  Quotidien que nous aimons beaucoup regarder. Je trouve que c’est le seul journal télévisé avec autant d’humour et une ambiance aussi bonne et conviviale. J’ai l’impression que l’équipe est une bande d’amis. Ils ont parlé des élections aux États-Unis et notamment de l’attitude de déni de Trump sur sa défaite, des manifestations contre la loi qui empêche de filmer les interventions des forces de l’ordre, du procès de Charlie Hebdo qui sera une énième fois reporté. Leur invité du soir est un écrivain, Sylvain Tesson qui, je trouve s’exprime très bien. Son interview est passionnante et donne envie de lire. Il est 19h43 et nous sommes toujours en train de regarder le journal. Mon père qui avait mis une pizza au four (pizza faite maison, attention), la sort et nous donne à chacun une part sur une assiette qu’il nous ramène devant la télé. La pizza est très bonne, en même temps avec des champignons, de la mozzarella, du jambon et du fromage, ça ne peut qu’être bon. J’adore quand on mange devant la télé même si c’est assez rare. Je termine ma part, et cherche la dernière qui reste dans le four. Je la coupe en deux pour la partager avec mon frère. Il est 20h et je me rends compte que j’ai toujours faim. Mon père me propose un reste de cannelloni qu’il réchauffe au four. Au bout d’une dizaine de minutes je vais les chercher et les ramène au salon pour découper ma part. A ce moment-là, je remarque qu’elles ne sont pas comme d’habitude et je demande alors à mon père à quoi elles sont. Il me répond que c’est aux crevettes. Je soupire car il devrait savoir que je n’aime pas ça, depuis le temps. J’ai l’impression qu’il oublie toujours tout. Si j’avais su, je n’en aurais pas voulu. Mon frère, pour une fois, est de mon côté en faisant une remarque à mon père sur le fait qu’il aurait pu préciser dès le départ que c’était aux crevettes. Je mange tout de même car je déteste le gaspillage alimentaire. Nous continuons à regarder le journal jusqu’à ce qu’il se termine à 21h07. Je débarrasse la table puis file directement dans ma chambre. Je suis encore un peu de mauvaise humeur donc je ne veux pas rester avec eux dans le salon. Mon père m’a quand même demandé si on pouvait regarder un épisode de Game of Thrones, série que nous regardons ensemble, mais je lui réponds que je ne peux pas car j’ai un appel avec mes copains prévu à 21H45. 

Je suis à nouveau dans ma chambre, je m’y sens bien. Je fais toujours en sorte que l’ambiance soit tamisée, c’est pourquoi je n’allume jamais ma lampe au plafond mais simplement deux petites lampes du bureau et de la table de chevet. Le lit occupe la position centrale dans ma chambre et mon bureau est devant une fenêtre. C’est le meilleur arrangement que j’ai trouvé pour l’instant. J’ouvre mon ordinateur pour reprendre deux trois trucs au niveau des cours en attendant l’appel discord avec mon groupe d’amis du lycée. J’ai plutôt hâte car je sais que je vais rigoler à coup sûr avec eux et qu’ils vont me changer les idées. On s’appelle vers 22h. Je demande à une amie du groupe si elle a discord pour qu’elle nous rejoigne ce qu’elle fait quelques minutes après. Je suis vraiment contente de les voir tous, fin techniquement je suis la seule à mettre la caméra donc je les entends juste. Nous rigolons et papotons comme j’aime. Nous faisons même un jeu en ligne comme nous avons l’habitude de faire pendant nos appels. Le jeu consiste à faire deviner un mot en le dessinant. C’est très amusant car nous n’avons absolument pas de talents artistiques. Je rigole de mes propres dessins qui sont immondes, mais je justifie cette qualité par le fait que je n’ai pas de souris. Après une longue partie nous arrêtons mais continuons l’appel, simplement en discutant. Je prends des nouvelles de chacun. Un des amis travaille sur des musiques, on peut dire qu’il est rappeur à ses heures perdues. Je lui demande de nous faire écouter un ou deux sons et il accepte. Je suis assez étonnée et je le félicite. Deux de mes amis partent, fin je suppose qu’un des deux s’est endormi devant discord. Mon copain a essayé de m’appeler en vidéo sur WhatsApp mais je lui réponds que je ne peux pas tout de suite car je suis en appel avec des copains. Je lui écris quelques minutes après pour lui dire qu’il n’est pas obligé de m’attendre, je sais que l’appel va durer longtemps. Il semble déçu et me dit qu’il va se coucher. Un de mes amis propose que chacun écrive quelques lignes sur le thème de la sensibilité et de le rapper ensuite sur une musique. Le pro du game explique qu’il a justement un son de 3min sur ça et qu’il rappera après nous avoir entendu. Au début je ne me sens pas concernée par le défi car c’est plus la spécialité de mes copains mais ils me reprennent et m’obligent d’écrire aussi. J’arrive à trouver 8 phrases, avec plus ou moins de rimes entre elles. Mes deux copains commencent puis vient mon tour. Je suis stressée car je n’ai jamais fait ça et je leur propose que ça soit l’un d’entre eux qui lise mon rap mais ils ne sont pas d’accord. Je me lance, c’est assez ridicule mais ils semblent plutôt apprécier mon rap puisqu’ils rigolent à certaines de mes références. Nous écoutons ensuite le fameux rap de 3min et je suis vraiment épatée. J’espère qu’il réussira dans ce domaine. Leurs sons sont très drôles et c’est toujours un plaisir de les écouter rapper. Il est minuit 42 et je décide de rester un peu raisonnable tout de même et d’aller me coucher vu que j’ai quand même cours à 8h le lendemain… (c’est exceptionnel que je me couche aussi tard en semaine). Dans tous les cas, ils ont réussi à me changer les idées, et j’en suis ravie. J’éteins mon ordinateur et programme mon réveil puis vais me coucher. Je n’ai pas particulièrement apprécié la journée que je viens de passer, j’étais de mauvaise humeur avec ma famille, je ne sais pas trop pourquoi. En plus j’imagine que ce n’est pas très agréable pour eux aussi. Même si je sais que c’est que passager, je n’aime pas être de mauvaise humeur car ça met une mauvaise ambiance dans la maison. 

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